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Par communiqué en date du 20 juillet 2021, le Maroc condamne la persistante campagne médiatique mensongère, massive et malveillante, évoquant une prétendue infiltration des appareils téléphoniques de plusieurs personnalités publiques nationales et étrangères à travers un logiciel informatique. Le gouvernement marocain a annoncé l’ouverture d’une enquête sur des ‘’accusations infondées’’.
Selon des révélations de l’organisation Forbidden Stories, en partenariat avec l’ONG Amnesty International et d’autres médias du monde, des États et gouvernements ont utilisé le logiciel de surveillance de la firme israélienne NSO à des fins d’espionnage.
Le Monde et Radio France ont rapporté que les services de renseignements marocains ont ciblé notamment en 2019, le président français Emmanuel Macron et son Premier ministre de l’époque, Édouard Philippe pour une mise sous surveillance de leurs téléphones.
Le logiciel Pegasus aurait été aussi utilisé pour espionner certains journalistes et responsables d’organisations internationales.
A travers un communiqué, le Maroc rejette catégoriquement « ces allégations mensongères et infondées » et met au défi « leurs colporteurs dont Amnesty International et le consortium ‘Forbidden stories’, ainsi que leurs soutiens et protégés de fournir la moindre preuve tangible et matérielle, en appui à leurs récits surréalistes ».
D’ailleurs, le Maroc, informe la même source, « est à nouveau la cible de ce genre d’attaques haineuses, qui trahissent la volonté de certains milieux médiatiques et d’ONGs de le mettre sous leurs ordres et tutelle. A leur grand dam, ceci n’est pas possible ».
« Le Royaume du Maroc, qui a connu ces dernières années de grandes réalisations dans de nombreux domaines, continuera sur sa lancée pour consolider son émergence économique et son développement social », affirment les autorités marocaines.
Le Maroc a aussi décidé de porter l’affaire en justice. « Fort de son droit et convaincu du bienfondé de sa position, le Royaume a opté pour une démarche judiciaire, au Maroc et à l’international contre toute partie reprenant à son compte ces allégations fallacieuses », conclut le communiqué du gouvernement.
AAA